Durant ce mois d’octobre 2021, le journal ‘La Capitale’ dresse le bilan à mi-mandat de l’ensemble des 19 communes bruxelloises.
Arrêt sur Ixelles où comme comme Chef de file de l’opposition libérale, j’ai exposé les manquements de la majorité Ecolo-PS principalement en termes de propreté, de sécurité, de mobilité et de gestion des finances communales.
Avec toute l’équipe MR-VLD, nous poursuivons au quotidien notre travail d’opposition constructive mais vigilante et critique tant au Conseil communal que sur le terrain !
Quelques extraits :
« Avant la majorité actuelle, il y avait déjà des points noirs en matière de propreté (Flagey, chaussée d’Ixelles…). Mais maintenant, il fait sale partout ! », relève le chef de groupe MR-VLD Gautier Calomne. « Y compris dans des quartiers comme la place Brugmann, l’avenue Lepoutre ou encore la rue de Stassart, où les habitants sont confrontés à des déjections humaines et des seringues. Sans compter les tags. Les façades de la place Flagey, qui avaient été nettoyées récemment, sont à nouveau couvertes de tags. »
L’insécurité est un autre point négatif, selon l’élu libéral. « Le sentiment d’insécurité est accru dans certains quartiers (Matonge, rue Gray) et il y a eu plusieurs fusillades en rue dans le quartier de l’Aulne. On assiste aussi à une vague de cambriolages et de dégradations dans divers quartiers (Boondael, Hôpital d’Ixelles, St-Boniface). Il y a aussi de plus en plus de mendiants, notamment dans le quartier du Cimetière d’Ixelles. »
Gautier Calomne dénonce la hausse du précompte immobilier (5%) et la hausse de diverses taxes. « Sans compter l’explosion de la masse salariale. Le personnel a augmenté de 10% et représente maintenant 56% du budget communal. »
Enfin, le MR stigmatise certaines mesures prises en matière de mobilité, tel le sens unique de la chaussée de Boondael, près du cimetière. « Avec les terrasses sur la rue, c’est de bric et de broc et cela ne sert à rien. Sauf à augmenter les nuisances de bruit pour les riverains par les livreurs qui se stationnent sur les trottoirs jusqu’à tard le soir. » Enfin, il critique la « suppression de plus en plus fréquente des places de stationnement dans les différents quartiers d’Ixelles au détriment des habitants et de leurs visiteurs mais aussi de l’attractivité des commerces et espaces culturels, qui s’en trouve impactée. »